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  • N°2 - Dossier - Santé du rat : Que dit la science ?

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    L'Écho des Sputniks

    Le moteur de recherche Pubmed, le "Google" de la biologie et de la médecine, ne recense pas moins de 821 779 publications dont le titre ou le résumé contiennent le mot "rat". Mais seulement 30 d'entre elles concernent le rat de compagnie. Comment nous, amateurs, pouvons-nous profiter de ces connaissances ?

     

    Connu et méconnu à la fois

     

    MonumentSourisLabo.jpgC'est un des grands paradoxes de notre cher Rattus norvegicus : alors que son espèce est l'une des mieux connue par les scientifiques, ces recherches ne sont que peu exploitées dans l'intérêt direct de nos compagnons. On fait des études sur les rats pour soigner les Hommes, pas pour soigner les rats. Et nous voilà à devoir découper en 13 parts et demi un comprimé dont le principe actif a pourtant été... testé sur des rats. Pourtant cette somme de connaissance touffue recèle des trésors, pour peu qu'on sache en extraire ce qui nous est utile.

     

     

     

    Sculpture érigée en hommage aux rongeurs de laboratoire, Novossibirsk, Russie.

    D'après le site speakingofresearch.com, les souris représentent 60% et les rats 14% de tous les animaux utilisés pour l'expérimentation (plusieurs million chaque année).

    Photo : Irina Gelbukh - Travail personnel, CC BY-SA 3.0

     

     

     

    Mais au fait, c'est quoi une étude scientifique ?

     

    Si la presse grand public a popularisé le concept ("une étude démontre que...") le sensationnalisme y prime souvent sur la rigueur scientifique. Or, il existe de multiple type d'études, et il importe d'être précis sur ce qu'elles prouvent... et ne prouvent pas !

     

    En toute généralité, on peut dire qu'une étude consiste en la collecte et l'analyse de données, en vue de répondre à une question scientifique, et en suivant un protocole rigoureux et défini à l'avance. Grâce aux exigences de la méthode scientifique, une étude bien conduite fournit toujours des preuves bien plus solides que des anecdotes ou des impressions personnelles, même si elles semblent "tomber sous le sens".

     

    PreuveAdapt.jpgLa nature exacte du protocole va définir le type d'étude : rapport ou série de cas, études cas-témoin, transversales, de cohortes, essais contrôlés randomisés... La qualité des preuves apportées par une étude dépend de la méthodologie choisie. Par exemple, dans une étude dite "randomisée en double aveugle", les participants (les "sujets") sont répartis au hasard entre plusieurs groupes qui vont recevoir un traitement différent, sans que ni eux ni les soignants qui leur administrent ne sache qui reçoit quoi, de manière à ne pas fausser les résultats. Ce type d'étude est plus solide que la compilation à postériori de tout les dossiers de patients ayant pris ces traitements dans un hôpital, par exemple. Et a fortiori, beaucoup plus probant que "j'en ai donné à mon rat et il a guéri", qui ne prouve rien du tout, car il aurait peut-être guéri sans aucun traitement !

     

    La force de la preuve apportée par une étude dépend de nombreux autres facteurs : par exemple le nombre de sujets (dans notre cas le nombre de rats étudiés) ou l'existence de "biais", c'est-à-dire des défauts qui réduisent la possibilité de conclure, comparer ou généraliser les résultats obtenus. Une étude menée sur des rats mâles de moins de 6 mois ne eut pas être généralisée à tous les rats de moins de 2 ans, par exemple. Et beaucoup d'études observent des corrélations ("les rats qui mangent X ont plus souvent la maladie Y que ceux qui n'en mangent pas") sans pour autant prouver qu'il s'agit de causalités ("l'aliment X cause la maladie Y"). Ce n'est pas la même chose : peut-être que X est davantage donné par des propriétaires mal informés qui , étant mal informés, font vivre leurs rats dans une cave humide, et que c'est cet environnement qui cause Y !

     

    Autrement dit, il y a étude et étude ! Une étude isolée n'apporte pas de preuve définitive, et il n'est pas ni rare ni anormal que plusieurs petites études se contredisent au début d'une recherche. Un fait n'est considéré comme scientifiquement établi qu'après la reproduction de plusieurs études, de plus en plus solides, qui vont être rassemblée dans des synthèses ou méta-analyses, jusqu'à être certain que le hasard ne peut pas suffire à expliquer les observations

     

    Ci-avant : "La pyramide des preuves". Sous la pyramide, il ne s'agit que de témoignage, non probants. L'avis d'un expert reconnu du domaine a plus de valeur, mais n'équivaut pas aux travaux de recherche méthodiques situés au-dessus. Plus on va vers le haut, plus les preuves sont solides. Illustration adaptée d'une infographie de Stéphane Ponzi, avec son aimable autorisation.

     

     

    Que peut-on tirer des études ?

     

    Il était important de planter ce décor pour comprendre ce que nous pouvons tirer des études scientifiques sur le rats : il faut toujours tenter de repérer le niveau de preuves d'une étude, ses biais, la question scientifique à laquelle elle répond, avant d'en appliquer des conclusions à nos rats domestiques ! Ces publications présentent souvent, pour nous amateurs, trois principaux problèmes :

     

    • D'abord, elles traitent de rats vivant en conditions de laboratoire, où tout est très contrôlé. Il n'est pas garanti qu'un résultat obtenu en laboratoire puissent être appliqués à des environnements aussi variables que nos maisons ;
    • Ensuite, une bonne partie d'entre elles concernent des souches de rats qui peuvent être génétiquement très différents de nos rats domestiques ;
    • Enfin, beaucoup de ces études sont orientées vers la compréhension et le traitement de maladies humaines l'information que l'on peut en extraire à notre profit peut donc être accessible qu'en "lisant entre les lignes" : l'étude n'a pas été faite pour ça.

     

    Malgré ces réserves, les études ne sont pas inutiles ! C'est par exemple grâce à des articles scientifiques que les ratouphiles connaissent désormais les conditions de l'utilisation sûre de l'injection abortive, ou la posologie efficace de la cabergoline contre les tumeur hypophysaires. Couplée aux examens réalisé chez le vétérinaire, une recherche bibliographique peut être d'une grande utilité pour les propriétaires de rats (voir encadré). Inversement, les témoignages échangés par les amateurs sur un forum comme celui d'SRFA, ou des ouvrages d'experts comme des manuels de médecine vétérinaire ou encore le guide des maladies de la NFRS (voir références), ne sont pas sans valeur, mais ne fournissent généralement ni chiffres, ni preuves solides.

     

    Tout cela ne remplace donc pas un véritable travail de recherche sur les rats domestiques "dans leur milieu naturel", c'est-à-dire... chez nous ! C'est pour toutes ces raison que votre serviteur s'est retrouvée embrigadée dans une authentique étude scientifique sur la santé du rat domestique.

     

    De l'utilité des examens complémentaires

     

    Nous n'y pensons pas toujours, et les vétérinaires n'osent pas toujours les proposer. Pourtant, faire pratiquer des analyses sur nos petits malades - et des nécropsies sur nos disparus - est très utile. Pour vous en convaincre, voici trois exemple de rats qui ont bénéficié du retrait chirurgical d'une "tumeur" et pour lesquelles les analyses anatomo-pathologiques ("anapath") ont été précieuses.

     

    L'analyse de la tumeur de DTC Canard a permis de déterminer qu'il s'agissait d'une forme maligne (cancéreuse) susceptible de métastaser aux poumons, et influencée par un risque familial. Le sachant, nus avons pu être vigilants et  mettre en place sans perte de temps un traitement palliatif qui a beaucoup améliorer son confort en fin de vie. Nous avons pu en tenir compte dans les choix ultérieurs de reproduction.

     

    L'analyse de la tumeur d'IDC Mens a révélée qu'elle n'avait pas été totalement enlevée, et conclu à un fort risque de récidive. Grâce à une recherche bibliographique sur les termes précis du compte-rendu, nous avons su que la chirurgie était le traitement de référence de cette tumeur, avec un bon pronostic si elle était bien complète. Ses adoptants l'ont palpé quotidiennement pour détecter très tôt une récidive, et le vétérinaire s'est appuyé sur l'analyse pour optimiser son geste chirurgical. Mens est toujours en vie, sans nouvelle tumeur, 20 mois après cette deuxième opération.

     

    L'analyse de la tumeur d'IDC Père Castor nous a appris qu'il s'agissait d'une tumeur parfaitement bénigne, et différente de celle de son frère Mens. Nous avons pu être rassurés sur une éventuel risque familial, et décider qu'en cas de récidive, compte tenu de son âge avancé, il serait inutile de lui faire courir le risque et les désagréments d'une nouvelle opération, pour une tumeur ne menaçant pas du tout sa survie.

     

    Sans ces analyses, nous n'aurions pu aller plus loin que : "ils ont eu tous les trois des tumeurs". Les comptes-rendus d'anapath sont assez techniques : venez les partager sur le forum SRFA, nous vous aiderons à les décoder, et ils serviront à d'autres !

     

     

    Comment devient-on "ratouphile-chercheur" ?

     

    vetrecordcouverture.pngMettez en contact n'importe qu'elles personnes ayant un métier scientifique et un centre d'intérêt commun : tôt ou tard, il leur viendra l'idée de faire une étude ensemble !

    C'est à peu près ce qu'il s'est produit entre un vétérinaire, une ratouphile chirurgienne, et moi-même. Constatant le peu de données scientifique sur les rats domestiques, nous avons mis sur pied une étude baptisée "REMORA" (pour "REgistre sur le MOrbidité du RAt"), afin d'obtenir une photographie de la santé des rats domestiques français, et tout particulièrement, obtenir des données quantitatives (des chiffres) sur les maladies des rats vivants chez des amateurs.

     

    Comme pour toute étude, nous avons d'abord posé notre "question scientifique", que je pourrais formuler simplement comme : "à quoi doit se préparer un vétérinaire pour soigner les rats de compagnie qu'on lui amène en consultation ?". Nous avons ensuite défini notre protocole : recrutement des sujets, liste des informations à rassembler, plan statistique. Puis, 6 vétérinaires volontaires ont collecté les données pendant 6 mois, en remplissant une fiche pour chaque rat vu en consultation. À l'issue des 6 mois nous avons analysé statistiquement les fiches (ça, c'était ma partie !) et nous avons écrit un article pour présenter notre travail. Nous l'avons envoyé à une revue scientifique où il a été évalué par des experts, nous l'avons corrigé pour leur donner satisfaction, et finalement, il a été publié - et a même fait la couverture du numéro ! Tout ceci a demandé près de trois ans de travail.

     

    DTC I Feel Fine en couverture de la revue Veterinary Records, dans laquelle l'étude REMORA a été publiée. Photo : Françoise Rey. Couverture : © 2018 British Veterinary Association, tous droits réservés.

     

     

    Les résultats de l'étude REMORA

     

    Quels sont les résultats de cette étude ? À partir des informations enregistrées sur les 375 rats inclus pendant l'étude, nous avons notamment déterminé la fréquence des diagnostics, identifié des facteurs de risques pour certaines maladies, et émis des recommandations à destination des vétérinaires. Beaucoup de ces conclusions ne sembleront pas révolutionnaires aux amateurs, qui le "savent" bien, mais comme expliqué plus haut, le fait de l'avoir établi avec une méthode scientifique donne plus d'objectivité à ces observations.

     

    Sans surprise, les problèmes respiratoires et les tumeurs mammaires sont les problèmes les plus rencontrés. Une des nouveautés et d'avoir établi des chiffres précis à ce sujet et notamment, le fait que les 10 maladies les plus fréquentes représentaient environ 2/3 des cas présentés au vétérinaire. C'est un enseignement utile pour les professionnels : si un vétérinaire même "non spécialiste" apprend à soigner ces 10 maladies, il saura s'occuper des rats de ces clients 2 fois sur 3. En allant jusqu'au 20 maladies les plus fréquentes (voir figure ci-dessous), on arrivera à plus de 80% des cas (4 cas sur 5). Les vétérinaires peuvent donc se former rapidement pour traiter la majorité de leurs patients.

     

    D'une manière similaire, plus de 60% des médicaments prescrits sont des antibiotiques ou des anti-inflammatoires non-stéroïdiens, et 70% des chirurgies pratiquées sont des stérilisations et des retraits de tumeurs mammaires. Un vétérinaire formé à "bien" prescrire ces molécules et pratiquer ces interventions est donc déjà "armé" pour traiter une grande partie des cas qui lui seront présentés.

     

    Grâce à la richesse des données collectées (âge, poids, origine, condition de vie…), nous avons pu pousser les investigations un peu plus loin. Par exemple, nous avons observé que les rats de l'étude qui vivaient dans un environnement jugé "mauvais" par le vétérinaire (mauvaise litière, endroit trop froid ou trop humide, hygiène insuffisante, cage inadaptée…) avaient 2 à 3 fois plus de risque de développer une maladie respiratoire, et développaient ces maladies en moyenne 5 fois plus tôt que leurs congénères bien maintenus. Là encore, cela vous semblera peut-être évident, mais il faut se méfier de nos préjugés : contrairement à ce que nous avons imaginé, les rats de REMORA vivant en groupe n'ont pas davantage consulté pour des blessures (plaies, abcès) que les animaux vivant seuls ! Cela vaut donc le coup de vérifier rigoureusement e que l'on croit savoir. D'autres résultats sont disponibles dans le texte intégral de l'article.

     

    Eds2Maladies_page-0001.jpg

    Diagnostics les plus fréquents parmi les 375 rats étudiés dans REMORA. La longueur des barres représente le pourcentage de chaque diagnostic parmi tous les rats (bleu foncé), parmi les femelles (bleu moyen) et parmi les mâles (bleu clair). Les chiffres à l'extrémité droite des barres sont les nombres de rats correspondants. 47 autres diagnostics, non représentés ici, ont été posés au cours de l'étude (sur 1 à 3 rats chacun).

     

    Une étude pour les vétérinaires qui peut servir aux amateurs

     

    Comme je l'ai écrit plus tôt, l'étude REMORA a été d'abord conçue à destination des vétérinaires. À l'instar des études de laboratoire, il n'est cependant pas impossible de la "lire" autrement et d'en tirer des informations utiles pour le propriétaire lambda ou l'éleveur.

     

    Comment savoir, par exemple, si une famille est sensible à telle ou telle maladie ? Une première approche peut être de comparer la fréquence d'une maladie donnée dans cette famille à la fréquence observée dans notre étude. Munis des analyses que vous n'aurez pas manqué de faire pratiquer, vous pourrez même consulter d'autres études pour savoir si des causes génétiques ont été identifiées pour cette pathologie.

     

    Près d'un quart des animaux vus en consultation sont finalement opéré : ça n'arrive pas qu'aux autres constituez donc une cagnotte vétérinaire suffisante pour une chirurgie ! Apprenez à reconnaître les signes et à réagir vite devant les maladies les plus courantes : c'est un bon investissement pour gagner un temps précieux et mieux soigner vos rats. Planifier une visite de dépistage systématique pour vos rats entre 15 et 18 mois : la démographe des rats étudiés montre que beaucoup de problèmes se déclarent juste après cette fourchette.

     

    Comparaison avec le LORD

     

    Comme toute étude se plaçant à l'étage "vert" de la pyramide des preuves, REMORA devrait être complétée et confrontée à d'autres études et sources de connaissances pour affermir ses conclusions. En France, nous avons la chance de disposer d'une base extraordinaire : le Livre des Origines du Rat Domestique (https://www.lord-rat.org), dont les presque 40 000 entrées donnent pâle figure aux 375 rats de notre étude. Il semble donc naturel de chercher à les comparer.

     

    C'est cependant moins évident qu'il n'y paraît : d'abord, le LORD ne contient que des informations sur les causes de décès (mortalité) tandis que REMORA se concentre sur les maladies (morbidité). Ensuite, les listes et catégories prédéfinies ne sont pas les mêmes : par exemple, le LORD ne propose qu'un unique champ "Tumeur", sans distinction d'organe. les comparaisons sont donc asse limitées. Je me suis tout de même prêtée à l'exercice.

     

    Fin février 2018, il y avait 22 650 rats morts ou supposés comme tels au LORD, et la première cause de décès - 30% des fiches - est... "aucune information" ! Pensez à tout ce que nous pourrions apprendre si chacun prenait la peine d'éclaircir la cause du décès de son rat, et de l'enregistrer au LORD. Rappelons que tous les rats peuvent y être inscrits, même sans pedigree.

     

    Si l'on exclu toutes les causes inconnues, il nous reste 13 508 rats, parmi lesquels on peut établir le "podium" et le comparer avec celui des diagnostics REMORA (après regroupements pour faire correspondre les catégories). Voici le résultat en image :

     

    Screenshot 2022-07-22 at 14-53-25 L'Echo_des Sputniks_N°2_Avril_2018.pdf.png

     

    Nous avons le même tiercé ! Certes dans le désordre, et pas exactement avec les mêmes chiffres, ce qui s'expliquer d'ailleurs assez facilement (mortalité vs morbidité, morts "de vieillesse" surestimés dans le LORD…) mais c'est assez cohérent. C'est typiquement grâce à ce genre de "rassemblement d'études" que l'on peut élever notre niveau de connaissance et de preuves.

     

     

     

    Lire entre les lignes et conserver son esprit critique

     

    L'exemple de REMORA prouve que l'on peut "détourner" une étude écrite pour un autre public (ici les vétérinaires, plus souvent des biologistes ou des médecins) pour en extraire des informations utiles à la santé de nos rats. Nous aurons surement l'occasion de vous présenter d'autres études dans de futurs numéros de l'Écho des Sputniks.

     

    Pour autant, il faut veiller à ne pas faire dire à une étude ce qu'elle ne dit pas, et garder à l'esprit qu'à l'instar des proverbiales hirondelles, une étude ne fait pas la science ! REMORA par exemple, ne permet pas d'affirmer que telle ou telle litière est mauvaise pour la santé, puisque nous avons groupé ensemble tous les facteurs de risque environnementaux. Un de ses grands intérêts, cependant, est d'avoir identifié des points qui mériteraient d'être creusés… par d'autres études. Et qui sait, peut-être participerez-vous à la prochaine ?

     

     

    Références :

     

    • A. Storey. The NFRS Handbook Part One - Common Diseases of the Fancy Rats. Pub. National Fancy Rat Society, 2007 ;
    • C. Brown & T.M. Donnely. Disease problems of small rodents. In Ferrets, Rabbits and Rodents : Clinical Medecins and Surgery, Eds K.E. Quesenberry & J.W. Carpenter, p.354-372, 2012 :
    • F. Rey, C. Bulliot, N. Bertin & V. Mentré. Morbidity and disease management in pet rats : a study of 375 cases. Veterinary Record, 176(15):385, 2015. Si vous êtes étudiant ou professionnel en santé animale, une copie de cet article (en anglais) peut être obtenue sur demande par message privé à Artefact sur SRFA.

     

    Texte : Artefact

    EdS N°2 Avril 2018

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