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  1. Depuis quelques années, on parle beaucoup de ces huiles. On en trouve un peu partout, en supermarché, en parapharmacie, les produits en contenant fleurissent depuis la cuisine jusqu'à la salle de bains. Si on passe outre l'aspect marketing qui surfe sur la vague du naturel, l'usage des huiles essentielles est régi par l'aromathérapie. Cataloguée de manière inexacte dans les "médecines parallèles" ou "médecines douces", l'aromathérapie est vieille comme le monde ou presque puisqu'on la retrouve dans toutes les civilisations antiques. Des questions sont souvent posées à propos de l'utilisation des huiles essentielles pour traiter les rats ou leur environnement. Cet article n'a pas pour but d'expliquer aux ratouphiles comment y avoir recours mais de présenter l'aromathérapie en général pour rappeler certaines règles et mises en garde de base. Il vous permettra soit de comprendre pourquoi les huiles essentielles ne sont pas à manipuler n'importe comment et vous freiner à l'avenir dans leur utilisation, soit de vous donner envie de vous pencher vous-même sur le sujet et d'approfondir vos connaissances. L'aromathérapie Qu'est-ce que l'Aromathérapie ? Sœur cadette de la phytothérapie, elle est l'étude et l'application de huiles essentielles quand son aînée s'intéresse aux plantes fraîches ou séchées. Son nom vient du grec "âroma" signifiant "épices". Médecine préventive ou curative. Pourquoi peut-on estimer comme inexacte le classement de l'aromathérapie dans les médecines parallèles ou douces ? D'abord parce que derrière ces termes se cache une notion péjorative en les considérant plus ou moins comme de l'escroquerie (ce qui peut être exact, il existe aussi des charlatans... cependant, l'exercice illégal de la médecine n'est pas l'apanage des médecines dites parallèles uniquement). Mais aussi parce que l'aromathérapie n'a rien de "parallèle" avec la médecine allopathique. Elle en est historiquement l'origine avec la phytothérapie. A la connaissance générale, il y avait très peu d'industries pharmaceutiques en Égypte il y a quelques siècles ! Un papyrus d'Ebers (1250 av. J.C.) nous renseigne sur les connaissances en aromathérapie des Égyptiens. Toutes les civilisations utilisaient couramment et développaient l'aromathérapie : maya, aztèque, hébraïque, indoue, grecque, romaine, arabe, chinoise, ...et on retrouve la trace de cet usage dans de nombreux livres sacrés. Hypocrate lui-même lui consacre une grande place dans son Corpus Hippocratum. Le traité de Dioscoride, De Materia Medica, recensant les espèces de plantes, servit pendant plus d'un millénaire à poser les bases de la médecine occidentale. C'est à Ibn Sina (plus connu en Europe sous le nom d'Avicenne) que l'on doit la cornue réfrigérante permettant la distillation. En Europe, la science des plantes fut associée pendant le Moyen-Age malheureusement à la sorcellerie puis à l'alchimie. C'est l'époque des paradoxes où l'usage commun est traqué et les connaissances sauvegardées par les religieux, où la science des plantes est à la fois célébrée et crainte, où se produit l'essor du commerce des épices et des aromates avec les conquêtes maritimes. On peut remarquer que longtemps l'autre nom des apothicaires fut aromaterii. Avec l'installation de la médecine allopathique en Occident, l'aromathérapie a été progressivement abandonnée au profit de la recherche en biochimie au cours du XIXème siècle. L'aromathérapie s'est vue donner son nom en 1928 par R.M. Gattefossé, parfumeur qui relança les recherches et posa les bases de l'aromathérapie moderne. C'est ensuite au Docteur Valnet que l'on doit sa réapparition affirmée dans les années 50. Ses ouvrages sont d'ailleurs toujours largement utilisés comme base d'apprentissage. L'aromathérapie ne se substitue en rien à la médecine traditionnelle. Un médecin aromathérapeute a suivi un cursus classique complété possiblement par une formation en aromathérapie (dispensée par des écoles qui peuvent être sérieuses dans leur démarche mais non reconnue en France) ; dès lors, il peut proposer à ses patients de recourir à des traitements classiques médicamenteux ou à d'autres basés sur l'utilisation des huiles essentielles. Un conseiller en hygiène de vie n'utilisera pas ses connaissances pour établir des diagnostics médicaux car n'ayant pas les qualifications pour. La France est cependant en retard sur de nombreux pays pour ce qui est de la reconnaissance des métiers d’hygiéniste. Pour terminer sur cette question, l'aromathérapie n'a rien de doux. Par doux, on peut entendre inoffensif. De par la nature même de cette discipline, les propriétés des plantes, on ne peut pas laisser dire que c'est une médecine douce. Elle est certes "naturelle" mais en aucun cas inoffensive. Laissons cette idée aux marketeurs et à leur sérénade du "bienfait par les plantes". Nous savons tous que la nature n'offre pas que des cadeaux... pour ne citer qu'un seul exemple, les champignons. Il n'y a rien de plus "naturel" qu'une amanite phalloïde... Et même les plantes les plus courantes et a priori banales peuvent provoquer des effets secondaires. Qu'est-ce que les huiles essentielles ? A partir des plantes aromatiques, on peut obtenir divers produits selon le mode d'extraction et de transformation. Le mode d'obtention se définit selon la nature de la plante aromatique (familles) et selon l'organe où sont contenues les molécules actives dans la plante (tronc, racines, feuilles, fleurs, fruits, ...). On les regroupe génériquement sous le nom d'huiles essentielles. Pour être précis : avec la technique d'expression, on obtient les essences (pour la famille des Rutacées), avec la technique de perforation ou incision, on obtient les baumes (utilisée pour les arbres où les molécules se trouvent dans l'écorce). Généralement, les baumes sont redistillés ensuite. Avec la distillation à la vapeur d'eau, on obtient les "vraies" huiles essentielles (et les hydrolats aromatiques). Chaque plante aromatique ne produit pas des molécules actives en quantités égales. Pour donner un exemple, pour obtenir 1 kg d'HE, il faudra 7 kg de boutons floraux desséchés pour le clou de girofle alors qu'il faudra distiller pour la rose de Damas.... 4000kg de pétales ! Cette disparité explique le prix à payer à l'achat de certaines HE (prix qui dépend aussi de la rareté de la plante). On détermine la composition chimique des HE à l'aide de la chromatographie en phase gazeuse (les HE peuvent contenir plus de 300 composants desquels découlent leurs propriétés). Connaissances et précautions de base dans l'aromathérapie Les HE ne sont pas miscibles, elles ne se dissolvent pas dans l'eau (mais dans l'alcool ou les huiles végétales), elles sont volatiles, naturellement la plupart sont liquides, elles sont colorées. Elles se conservent à l'abri de la lumière, dans un endroit frais, en conditionnement bien fermé. certains groupes à risques doivent faire attention avec l'utilisation des HE qui devrait être soumis à l'approbation préalable d'un médecin : femmes enceintes, nourrissons et enfants en bas âge, asthmatiques, personnes allergiques, épileptiques, .... Le dosage est fait par rapport au poids du sujet à qui on administre le traitement. Ces doses peuvent souvent se compter sur les doigts d'une main pour un homme de poids moyen. Cela laisse imaginer la puissance des HE... Là où 3 gouttes sont efficaces, 4 peuvent être dangereuses. La capacité d'assimilation des HE assujettit la fréquence de prises des doses. Mal régulée, la prise peut être dangereuse, le sujet ayant alors l'organisme trop chargé. Un surdosage (quantité ou fréquence) peut conduire à une hospitalisation pour un lavage d'estomac. Une HE se teste toujours à l'avance (une goutte dans le creux du bras ou sur le poignet, attente de 24h ; pour les fumigations, test en plusieurs étapes). Pour ne donner qu'un seul exemple, l'eucalyptus sous forme d'HE ou naturellement peut provoquer des crises d'asthme aux personnes sensibles. jamais d'HE dans les yeux, utilisation stricte et de préférence contrôlée en dilué pour les muqueuses et les parties génitales. L'utilisation des HE pures est à proscrire sans de bonnes connaissances. On n'utilise pas une HE dont on ne connaît pas les propriétés. Certaines sont dermo-caustiques, photo-sensibilisantes, allergisantes, hépato-toxiques, néphrotoxiques ou neurotoxiques, nécrosantes. Beaucoup peuvent présenter des effets indésirables possibles en cas de surdose ou d'intolérance (nausées, convulsions, céphalées, etc). Une HE ne devrait pas être administrée en longue durée. Toutes ne se prêtent pas aux mêmes utilisations (dermiques, fumigations, orales, etc). Méfiez-vous en particulier pour la diffusion atmosphérique qui n'est pas plus banale qu'une autre utilisation contrairement à ce que certains pensent, certaines HE sont très irritantes (les HE à phénols ou cétones par exemple). On ne mélange pas au hasard des HE (mélange = synergie), leurs effets pouvant s'annuler ou pire. Choisir ses HE Pour une utilisation thérapeutique, on ne devrait pas mégoter sur la qualité des HE : elles doivent être 100% pures, totales, et biologiques. Ainsi, on n'achète pas ses HE n'importe où, n'importe comment. Les principaux détails à rechercher lors de l'achat : la dénomination exacte latine (voire si possible l'identité totale : famille, genre, espèce,) --> les termes vulgates "eucalyptus", "menthe", "lavande" sont par exemple impropres dans un cadre thérapeutique car il existe diverses espèces voire sous-espèces. la spécification de l'organe reproducteur de la plante d'où on extrait les composants chimiques --> selon les plantes, plusieurs parties peuvent être utilisées ; par exemple on exploite à la fois l'écorce et les feuilles de la canelle. le chémotype et l'origine géographique --> des sols de culture, des conditions climatiques, etc, dépendent certaines caractéristiques des HE, et selon ces caractéristiques on traitera divers troubles. Le romarin et le thym sont de bons exemples à citer tant il peut exister de différences entre les chémotypes. Comme expliqué plus haut, les huiles essentielles peuvent être très chères. A l'instar des médicaments allopathiques difficiles à obtenir, le prix est explicable et logique. Ne vous jetez pas sur des produits au rabais pour tout ce qui concerne les médications. On peut se fier aux labels Nature et Progrès, Déméter, A.B.H.E.D.D. et H.E.C.T.. Attention aux faux labels ou aux labels détournés (mention bio obtenue avant agrément ministériel alors que le produit n'est que partiellement bio, sans obligation de citation sur l'étiquette). Les huiles essentielles et les animaux Quid de la médecine vétérinaire ? Comme dit précédemment, la France fait partie des parents pauvres de l'Occident quant à l'ouverture d'esprit (ou plutôt la réouverture d'esprit) envers l'aromathérapie. Alors que c'est ici qu'est né le regain d'intérêt pour cette discipline... D'Ordre des Médecins oppose un scepticisme assez prononcé à son encontre cependant qu'on trouve petit à petit de plus en plus de docteurs s'y intéressant pourtant. Il en va de même pour les vétérinaires. Les vétérinaires de campagne utilisent encore pour certains des traitements à base de plantes réputés efficaces depuis très longtemps parallèlement à d'autres traitements médicamenteux. Les vétérinaires habitués à traiter les animaux de compagnie restent pour la plupart fidèles aux traitements classiques. Cependant, certains commencent à s'intéresser à l'aromathérapie. Toutefois, il faut rester méfiant quand un vétérinaire donne son aval à un traitement aromathérapeutique maison. Certains, par méconnaissance, considèrent les HE, tout comme l'homéopathie, comme des placebos. N'hésitez pas à demander pourquoi il donne cet aval. La méconnaissance peut frapper aussi les experts. C'est bien beau tout ça... mais les rats ? Les études dont on dispose ne sont pas nombreuses et concernent plus souvent les animaux de ferme ou les animaux domestiques habituels. Sans connaissances personnelles (qui relèvent de la chimie, de la botanique, de l'anatomie, de la biologie, ...) ou sans accord vétérinaire, on devrait s'en tenir au principe de précaution : "ce que je n'utilise pas ne guérira pas mais ne fera pas de mal non plus". Plus haut sont listées de manière non-exhaustives les principales mises en garde habituelles données en aromathérapie humaine. Les deux plus grands dangers qui guettent des animaux exposés d'une manière ou d'une autre aux HE sont : le surdosage (rappelons une fois encore que quelques gouttes seulement sont administrées pour des dizaines de kilos chez l'homme, faites vous même le ratio poids/produit), une erreur dans le choix des HE qui peut avoir des conséquences catastrophiques. Mieux vaut prévenir que guérir Vous avez lu que les HE étaient parfois indiquées dans le cadre d'une action préventive. C'est tout à fait exact chez les humains. Cependant, pour les rats, nul n'est besoin de recourir au préventif. Une bonne hygiène, l'observation respectueuse des règles de maintien de l'animal, une bonne alimentation devraient suffir. La plupart des pathologies qui surviennent chez le rat ne peuvent être endiguées par un traitement préventif à base d'HE. Vous ne pourrez éviter l'inévitable ainsi (virus, tumeurs, ...). Tout du moins sans connaissances précises. Mon rat est malade Si votre rat est souffrant, ne perdez pas de temps à chercher un remède miracle sur le net ou en mélangeant ce qui se trouve dans vos placards à l'instant T. Outre que l'application des HE doit être réfléchie, vous pouvez oublier l'essentiel des précautions dans l'urgence. Vous risquez d'aggraver son état si vous ne consultez pas au plus vite un vétérinaire. Enfin, il n'est pas dit que l'absorption préalable d'HE dans l'attente d'un rendez-vous véto ne biaisera pas voire n'annulera pas l'action du traitement qui lui sera prescrit. Laissez le terrain de l'expérimentation à des laboratoires d'études. Mon rat a des séquelles d'une ancienne affection ou est chronique Vous avez épuisé tous les recours pour améliorer son état. Le désir de le soulager ou de faire en sorte qu'il aille un peu mieux est très louable de votre part. Cependant, soyez bien conscient que vous risquez au contraire d'aggraver ses symptômes récurrents en ayant recours aux HE et aux préparations destinées aux humains. Si vous souhaitez persévérer dans votre recherche, essayez de trouver un vétérinaire aromathérapeute. Mais les HE ont d'autres avantages, comme l'hygiène ! Exact aussi. L'usage des HE dans les produits d'entretien maison est l'un des premiers. Les pouvoirs acaricide, antifongique, antibactérien, désinfectant, antiseptique et cie sont reconnus. Toutefois, leur utilisation est assujetti de la même manière à des connaissances de base. Et ne perdez pas de vue que le rat vit le nez, les yeux et la langue sur l'étage sur lequel vous passez votre éponge. Prudence donc. À lire Voici quelques extraits concernant les rats que l'on trouve dans les livres consacrés à l'aromathérapie humaine : "L'auto-médication est parfois dangereuse, surtout quand elle utilise des essences aromatiques. Des crises épileptiques ont été observées chez des patients absorbant des doses trop élevées d'hysope, de romarin ou de sauge. Cette iatrogénie, dont la réalité a été confirmée par des études expérimentales sur le rat, peut également survenir à la suite d'une ingestion régulière prolongée de posologies faibles réputées non dangereuses". (J. Valent, Aromathérapie, 11ème édition) [pour information, ces trois huiles essentielles ne se trouvent plus librement en pharmacie, leur usage est strictement et médicalement contrôlé] "Decaux cite le lierre susceptible d'entraîner chez la rate castrée, les modifications relatives au cycle menstruel (R. Paris et Quevauviller)". (J. Valnet, Aromathérapie, 11ème édition). Sur les essences à cétone : "Les essences à cétone figurent parmi les plus dangereuses [...]. Le problème est de suffisante importance pour que certains auteurs soient revenus sur la question à la suite de cinq cas recensés d'état convulsif suivi d'une perte de conscience ou d'un coma plus ou moins long. L'analyse des essences étudiées et l'expérimentation par injections intra-péritonéales chez le rat ont confirmé la nature épileptogène de ces produits, non seulement pour des doses excessives mais aussi, comme j'ai déjà eu l'occasion de le mentionner à différentes reprises en médecine humaine, pour des doses faibles réputées non dangereuses mais trop longuement prescrites. Dans ce dernier cas, les manifestations disparaissent à l'arrêt du traitement mais, notent les auteurs, les rats d'expérience demeurent amaigris tandis que leur poil devient jaunâtre et rêche." Le cas des chats Si on trouve difficilement des informations sur les rongeurs, d'autres commencent à circuler à propos de nos félins d'intérieur. Et cela donne matière à réfléchir. Les chats ayant une peau très fine, l'absorption des HE est beaucoup plus dense et brutale. Ce qui nécessiterait une remise en question des dosages, déjà difficiles à calculer. Par ailleurs, ils ne peuvent éliminer correctement certaines molécules qui s'accumulent dans le foie jusqu'à causer un empoisonnement. Le parallèle peut-être ici intéressant à faire avec une constatation relevée sur les problèmes d'anesthésie du rat. L'un des principaux problèmes des anesthésiques fixes est leur élimination trop lente par l'organisme. On peut donc se demander s'il n'en irait pas de même pour certaines HE. L'aromathérapie, à proscrire définitivement ? Au petit bonheur la chance, la réponse est oui. Mais on peut espérer dans les années à venir un essor de la médecine vétérinaire aromathérapeutique, accompagnée d'études fiables. Il sera alors temps de constater les bienfaits des HE pour nos animaux et de voir apparaître des produits adaptés à leur corpulence. Pour finir, on peut citer la phrase célèbre de Paracelse pour illustrer les risques de l'utilisation au petit bonheur la chance des plantes : "Tout est poison, rien n'est poison, seule la dose compte". Bibliographie Les Cahiers de l'aromathérapie selon l’École Française. Volume Vétérinaire T3 (bovins) – Dr Francine Baudry, éd. Amyris Les Huiles essentielles et vos animaux – M.C. Laparé, éd. Alternatives (ne concernent que les animaux domestiques classiques et les animaux de ferme) Holistic Aromatherapy for Animals : a comprehensive guide to the use of essential oils and hydrosols with animals – Kristen Leigh Bell, éd. Lantern Book Encore des questions ? N'hésitez pas à solliciter la communauté dans la rubrique Questions, problèmes, débats ! Première publication : 03/10/2007. Dernière révision : 30/05/2013.
  2. Bonjour à tous, Je vous explique mon problème. Gaïa a environ 11 mois, nous l'avons adopté en Février via une animalerie. La choupette a eu toute petite un rhume que l'on a soigné avec 20 jours d'antibio. Depuis que l'hiver est parti, plus rien... Puis rebelotte vers septembre, dans mes souvenirs, qui a été réglé car pris rapidement. C'était un début. Et ce mois-ci, les mêmes bruits réapparaissent encore. Ces bruits ne sont pas présents non stop, ils arrivent quand elle se réveille ou quand elle est un peu énervée, speed... donc c'est pas constant. Le problème ne s'aggrave pas, ni ne s'améliore... Nous aimerions éviter de retourner chez le vétérinaire vu que le problème est récurrent et que nous aimerions éviter de lui proposer, encore et toujours des antibiotiques. Le vétérinaire sait que c'est fréquent, il s'y connait en rat, donc peut être qu'il nous proposerait quelque chose de différents mais nous aimerions avoir votre avis dans un premier temps. Au niveau de l'humidité, elle est assez basse (30%) mais nous avons un humidificateur d'air qui permet de régler le problème comme on peut (c'est assez lent pour réguler et on ne peut pas mettre l'humidificateur d'air 24h/24). Donc ça pourrait peut être expliquer aussi son "rhume". Bref, mis à part l'humidité qu'on essaie de régler comme on peut, y a t-il d'autres solutions ? Y a toujours les huiles essentiels, et faire des inhalations mais j'avoue ne pas être à l'aise car je ne m'y connais pas assez et je ne sais pas si ça pourrait être efficace et utile dans ce cas précis. Un grand merci pour vos futures réponses. PS : petite information en plus, Kay, elle, ne présente pas du tout ces symptômes.
  3. Bonjour, Je vous consulte pour ma ratounette Sélénium agée de 14 mois. Concernant les traitements antérieurs, elle a eu une antibiothérapie systémique et un collyre à base de corticoïdes 2 fois par jour pendant 10 jour qui s'est arrété vendredi pour son problème de canal lacrymal bouché (j'avais ouvert un topic à ce propos). Concernant le problème actuel voilà la soucis: à 2 reprises depuis le début de la semaine, j'ai remarqué qu'elle respire bruyamment (bruit de pompe à vélo) pendant une courte durée (inférieure à 5 minutes). Une fois alors qu'elle était dans mes bras et là alors qu'elle dormait avec les 3 autres. Je suppose que cette fois ci, ça peut etre du au fait qu'elle a le nez juste au dessus de l'étage recouvert de polaire sur lequelles toutes font pipi comme des crados (étage installé depuis 2 semaines). J'ai donc descendu leur nid et je virerai l'étage ce soir quand mon homme sera revenu. Mon véto est fermé entre midi et trois heures donc je vous demande votre avis: avez vous déjà eu à faire à ce genre de problème? Sinon, la litière habituelle est du chanvre classique. Merci à vous
  4. Bonjour! Pour noel j'ai reçu un diffuseur d'huiles essentielles, ma ponyo a sa cage dans ma chambre et avant de m'en servir je voudrais avoir votre avis pour ma puce! Est ce bon pour son nez? Et si oui, favoriser quelles huiles? Merci :-)
  5. Cet article a déménagé ! Retrouvez-le dans l'onglet Articles ou en suivant ce lien :

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